Lorsque je regarde cette dernière pellicule en mer Égée, je me dis que c'était en 2013 et que c'est la magie de l'argentique que de montrer des choses qui n'existent déjà plus, très loin de nous...
Lorsque je marche dans l'herbe antique du vieux théâtre, mes pas font croustiller la pierre qui se cache entre les brins.
Lorsque j'observe par dessus le muret, la ville fait comme une neige de gros flocons.
Lorsque arrive la nuit, au détour d'une ruelle nous arrive le son de la lyre, mais c'est l'odeur de l'olive et de la féta qui nous fait nous assoir. Ou peut-être est-ce juste une bonne excuse ?
Lorsque les murs sont vides de sens, à Athènes, on les remplit de paroles de la rue, plein de couleurs.
Lorsqu'on se perd, ici, l'Acropole est le repère blanchâtre de l'horizon, et j'ai parfois l'impression de voir une vieille dent gâtée que le dentiste refuse de soigner complètement. Un patient comme ça...
Ômbres
Mȧsque
La märche de l'hǿmme
Un pệcheur
Wàlking Dȅad
L'ensỗmmeillé
Pẳrole
L'ăntre
Ruḯnes de soleĭl
Chiḛn Ǻntique
Hǡdrien en m-arche
Mère au mủr
Gardɨen des Reflǝts
Sỏurire carnȁssier
Condḁmnatiòn
Aux premiĕres lõges des premiĕres luẽurs
Thẻatre du vélȏ
Pilatḝs photographique
Stådium
Ecce Hȯmö
La travèrsée
Toịture bleue
La grūe
Le joueur de ritẚră
Le joueur de tḗlḛphone
Rủelle
Concẹrt d'un soir
// 81ème pellicule : Une pierre blanche et friable
Reviewed by Talion'h Kaärd : photographies et romans SFFF
on
12:43
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Elles sont belles, autant que les souvenirs...M
RépondreSupprimerPas aussi bien ;)
SupprimerWow, j'ai l'impression d'avoir fait le tour de la ville en 15 minutes!
RépondreSupprimerHahaha ! Compañero que tal !!!!
SupprimerTu te rapproches du photojournalisme social, mon cher !! Bravo !! Ne t'arrête pas...
RépondreSupprimerEt bien merci Guillaume !
SupprimerM'étonnerait que ça s'arrête toute cette histoire ;)