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// 81ème pellicule : Une pierre blanche et friable

Lorsque je regarde cette dernière pellicule en mer Égée, je me dis que c'était en 2013 et que c'est la magie de l'argentique que de montrer des choses qui n'existent déjà plus, très loin de nous...

Lorsque je marche dans l'herbe antique du vieux théâtre, mes pas font croustiller la pierre qui se cache entre les brins.

Lorsque j'observe par dessus le muret, la ville fait comme une neige de gros flocons.

Lorsque arrive la nuit, au détour d'une ruelle nous arrive le son de la lyre, mais c'est l'odeur de l'olive et de la féta qui nous fait nous assoir. Ou peut-être est-ce juste une bonne excuse ?

Lorsque les murs sont vides de sens, à Athènes, on les remplit de paroles de la rue, plein de couleurs.

Lorsqu'on se perd, ici, l'Acropole est le repère blanchâtre de l'horizon, et j'ai parfois l'impression de voir une vieille dent gâtée que le dentiste refuse de soigner complètement. Un patient comme ça...




Ômbres

Mȧsque

La märche de l'hǿmme

Un pệcheur

Wàlking Dȅad

L'ensỗmmeillé

Pẳrole

 L'ăntre

Ruḯnes de soleĭl

Chiḛn Ǻntique

Hǡdrien en m-arche

Mère au mủr

Gardɨen des Reflǝts

Sỏurire carnȁssier

 Condḁmnatiòn




Aux premiĕres lõges des premiĕres luẽurs

Thẻatre du vélȏ

Pilatḝs photographique

Stådium

Ecce Hȯmö

La travèrsée

Toịture bleue

La grūe

Le joueur de ritẚră

Le joueur de tḗlḛphone

Rủelle

Concẹrt d'un soir


// 81ème pellicule : Une pierre blanche et friable // 81ème pellicule : Une pierre blanche et friable Reviewed by Talion'h Kaärd : photographies et romans SFFF on 12:43 Rating: 5

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