Comme toute bonne pellicule de voyage, notre 48ème glisse d'un lieu à l'autre, traverse des frontières absurdes, débute en Ecosse et finit à Ramonville, sa première photo est une rue, sa dernière en est une autre.
Je me souviens d'avoir engagé cette pellicule pour les quelques heures qui nous restait en Angleterre, et de ne pas avoir sorti l'appareil une seule fois pour notre looongue marche dans Edinburgh, cherchant de quoi dormir pour la dernière nuit. Dommage ...
Voici donc 24 poses (Ilford 400 HP5) qui hoquettent en gris et noir et blanc
Bon visionnage !
Tête d'ogive
Dejeuner sur l'herbe
Cabane au fond du jardin
Arrêt de bus
Au revoir
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Squelette
Pigeon
Dédé
Les Fous de Saint-Georges
Guillotine
Tortionnaire du dimanche
Scène blanche
Charles attend...
Petit voyeur
Ecouter aux murs
Grimper au mur
Désolation
Par delà
Hypnotisée
Dude
Envol
Jonglage
Pilules
// 48eme pellicule : D'un Mur à l'autre
Reviewed by Talion'h Kaärd : photographies et romans SFFF
on
22:51
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Moins accroché par cette série, si ce n'est par le passage du côté de Ramonville, avec un soupçon de nostalgie.
RépondreSupprimerEt pour constater qu'ils font payer l'entrée désormais!
Anto.
Oui, j'ai eu du mal à terminer cette pellicule, elle avait commencé tellement loin ... ;)
SupprimerBen moi j'accroche de plus en plus! L'humain entre de mieux en mieux dans tes compositions, "j'adooore"... Cartier Bresson n'est pas mort! Je dis ça mais gaffe aux chevilles quand même! ;-) Masa
SupprimerMerci Masa ;) Faire entrer dans le cadre des monsieur dame, tout un challenge ;) Puis j'ai pas envie d'être comparé à une marque de montres :-p
SupprimerJe crois que moi aussi j'accroche un peu moins. Dit crument ça ressemblerait à "j'aime toujours autant ce qu'elles montrent mais un peu moins ce qu'elles sont". J'ai l'impression qu'un filtre s'est immiscé entre ces photos et moi ; comme une brume grise qui m'en éloigne un peu. Je pense notamment à "Dédé" et aux "fous de Saint Georges" dont leur absence mais davantage révélée que lors d'antérieures photos ...
RépondreSupprimerMerci pour les commentaires. C'est étrange au final comme les ressentis d'une prise de vue se greffent aussi sur la pellicule, visible à celui qui observe la photo ... Par contre, je ne comprend pas ce que tu voulais dire quand tu parles de Dédé et des Fous ?
SupprimerA plus tard !
Je parlais de leur "absence de mon monde" ... ou plutôt de mon "moment". Seul, devant un PC. D'habitude, les quelques humains qui traversent le cadre viennent me tenir compagnie ; nous dialoguons. Ici, ils me narguent, me montrent qu'ils sont ailleurs ... et que le "filtre" m'empêchera de les atteindre.
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