Voici la 5ème pellicule consacrée à l'île crétoise, une Fuji S200 qui étend sa lumière comme à travers une grotte. Cela tombe bien, beaucoup de rocailles et de pierres et de sables et de graviers dans cette pellicule.
La lumière est ce qu'elle est sur cette île : crue, vive, aiguë. Ainsi nos yeux s'habituent à se plisser pour ne pas être assailli par les photons furieux. Devant eux s'étend alors un paysage en éternel demi-jour. Un faux crépuscule. Une très légère apocalypse.
A un moment nous avons été suivi par une petite chapelle qui nous guettait de très loin, accroché à la montagne dans l'obscurité des oliviers.
Il y a des villes roses, des villes grises, des villes blanches. Et des villes bleues.
Il y a des routes que vous arpentez dans le silence, toute simple, et qui vous font croire qu'à un moment ou à un autre, des gens les ont quittés et sont allés aussi simplement dans la garrigue. L'exploration du quotidien. On reste accroché à notre route, un fil conducteur qui doit bien amener quelque part et on laisse les heureux fuyards s'aventurer vers des chemins inconnus. Dans le secret.
"Où que tu creuses dans cette terre, tu ne trouveras que les os et le sang des meilleurs des hommes". Voila ce qui est écrit sur cette lame.
La lumière est ce qu'elle est sur cette île : crue, vive, aiguë. Ainsi nos yeux s'habituent à se plisser pour ne pas être assailli par les photons furieux. Devant eux s'étend alors un paysage en éternel demi-jour. Un faux crépuscule. Une très légère apocalypse.
A un moment nous avons été suivi par une petite chapelle qui nous guettait de très loin, accroché à la montagne dans l'obscurité des oliviers.
Il y a des villes roses, des villes grises, des villes blanches. Et des villes bleues.
Il y a des routes que vous arpentez dans le silence, toute simple, et qui vous font croire qu'à un moment ou à un autre, des gens les ont quittés et sont allés aussi simplement dans la garrigue. L'exploration du quotidien. On reste accroché à notre route, un fil conducteur qui doit bien amener quelque part et on laisse les heureux fuyards s'aventurer vers des chemins inconnus. Dans le secret.
"Où que tu creuses dans cette terre, tu ne trouveras que les os et le sang des meilleurs des hommes". Voila ce qui est écrit sur cette lame.
Brin d'herbe
La femme qui murmurait à la bouche des chevaux
Le Mur
Rempaillage express
A travers les vitres salles
Coin de rue de Chania
Le labyrinthe
Plastofoin
Poisson rouge
Starck ou Lanister ?
Gaaaaarde-à-vous !
Les touristes aux panneaux
Nous vous observons, marcheurs
Regarder de biais mais pas trop
Allez au travail
Une route vers plus loin
Les rochers aux mouettes
Apparition
Bunkerurbain
Piège à filles
Ne tenir qu'à un fil
Totem
Suivre la flèche
Ulysse est allé boire un coup de raki
La poubelle des plages
Cité de plastique
Celle qui nous guette
Le chemin de fer
Les champs d'oliviers
La première en forme de dernière
// 77ème pellicule : Où que tu creuses
Reviewed by Talion'h Kaärd : photographies et romans SFFF
on
14:43
Rating:
beau travail!!!!
RépondreSupprimerJ'A-DO-RE !!!! Tout.... les photos, les couleurs, les prises de vue, les cadrages. Chapeau, très beau résultat. M
RépondreSupprimerLes photos sont restées cadrées "dans leur jus", d'où la bande noir de la pellicule tout autour...
RépondreSupprimerMagnifiques photos! Bravo!
RépondreSupprimerBon week end!
Photographe Gil Zetbase
http://www.gilzetbase.com/