¡PAM!
comme me l'a dit un ami d'icit bien inspiré, je le cite : "A Montréal, il y a deux saisons : l'hiver et le mois de juillet", les arbres fanent à vue d'œil et la pluie nous habitue à nous emmitoufler en breton bedonnant. Le parapluie est de rigueur, et même si les températures sont encore clémentes, le clapotis incessant des gouttelettes ruisselantes sur les milliers d'arbres de la ville envahie le fond sonore d'une Montréal qui recommence à vivre la nuit.
C'est comme cela que j'ai connu Montréal il y a 8 mois désormais, dans la nuit d'une fin d'après-midi québécoise, sous des flocons gonflant dans le vent, un air frais qui pique les narines.
Parfait, bye bye l'été, bienvenue à l'automne et ses Couleurs ...
comme me l'a dit un ami d'icit bien inspiré, je le cite : "A Montréal, il y a deux saisons : l'hiver et le mois de juillet", les arbres fanent à vue d'œil et la pluie nous habitue à nous emmitoufler en breton bedonnant. Le parapluie est de rigueur, et même si les températures sont encore clémentes, le clapotis incessant des gouttelettes ruisselantes sur les milliers d'arbres de la ville envahie le fond sonore d'une Montréal qui recommence à vivre la nuit.
C'est comme cela que j'ai connu Montréal il y a 8 mois désormais, dans la nuit d'une fin d'après-midi québécoise, sous des flocons gonflant dans le vent, un air frais qui pique les narines.
Parfait, bye bye l'été, bienvenue à l'automne et ses Couleurs ...
// Les fils conducteurs
Reviewed by Talion'h Kaärd : photographies et romans SFFF
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03:03
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